Les lobbyistes et la conseillère fédérale Doris Leuthard veulent manifestement contourner par la petite porte la double décision du Conseil des Etats de maintenir les valeurs limites pour les installations de téléphonie mobile. Le rapport suivant montre ce que cela signifie.
Les personnes hypersensibles à l'électrosmog se voient privées de leur qualité de vie. Dans le blog suivant, des personnes concernées font part de leurs expériences avec les rayonnements invisibles. Plusieurs études confirment les dangers du WLAN, de la téléphonie mobile et autres.
Une nouvelle étude italienne démontre le risque de cancer lié au rayonnement de la téléphonie mobile. Un nouveau document de la 'Kompetenzinitiative' met en évidence les dérives de la politique en matière de téléphonie mobile. Et une nouvelle étude documente les risques sanitaires liés au WLAN dans les écoles.
Beaucoup de gens ne sont pas conscients de ce que l'évolution numérique signifie pour notre société. Les conséquences des rayonnements électromagnétiques sur la santé sont une chose, l'influence des téléphones portables, d'Internet et autres sur la vie privée de chacun en est une autre.
Elle a longtemps été sous-estimée. En conséquence, la glande pinéale est mal étudiée. A tort : cette petite glande située entre les hémisphères cérébraux aurait une grande influence sur le bien-être et le développement de l'être humain. Cependant, le mode de vie moderne, et en particulier l'électrosmog, exerce une pression sur la glande pinéale.
Les risques des rayonnements des téléphones portables sur la santé sont un sujet de discussion depuis des années. De nouvelles études soulignent les dangers et l'urgence d'agir pour protéger la santé des hommes et des animaux contre les conséquences des rayonnements.
Selon un article paru dans le journal "20 Minuten", un homme de la région d'Olten a porté plainte contre son voisin jusqu'au Tribunal fédéral, car il aurait souffert physiquement des émissions de son WLAN. Le Tribunal fédéral a toutefois débouté l'homme, comme le rapporte la "Solothurner Zeitung". D'une part, il n'aurait pas signé un formulaire qui aurait permis de faire mesurer les émissions WLAN par un spécialiste. D'autre part, le tribunal a suivi le jugement rendu en première instance par la Cour suprême de Soleure. Celui-ci avait déjà estimé que la Fritzbox, réglée sur une puissance d'émission de 50 pour cent, n'enfreignait aucune disposition légale. Malgré tout, l'article de 20 minutes a fait des vagues : Plus de 400 commentaires ont été rédigés à ce sujet. Dans beaucoup d'entre elles, il apparaît clairement que les personnes électrosensibles se heurtent souvent à l'incompréhension, voire aux moqueries.
Ces dernières années, les radiations émises par les téléphones portables et les risques qu'elles représentent pour la santé ont fait l'objet de discussions récurrentes. Plusieurs études ont été publiées à ce sujet. Au niveau politique, on observe plusieurs tendances.
Notre approche de la technologie mobile ne pourrait pas être plus contradictoire. Dans les écoles zurichoises, on met en garde, à Berne, on investit à fond. Une étude menée à Bonn montre quelles peuvent être les conséquences de l'addiction au smartphone.
Une étude américaine a établi un lien entre les fausses couches et les rayonnements WLAN. Un sondage également américain a révélé qu'en 2015, près de la moitié des personnes interrogées ne pouvaient apparemment plus vivre sans leur téléphone portable. Et en Corée du Sud, une étude qui associe la dépression, l'anxiété, etc. au rayonnement de la téléphonie mobile fait dresser l'oreille.