La téléphonie mobile et ses effets sur les enfants

Il n’existe que peu d’études qui se sont explicitement penchées sur le risque accru de cancer lié à la proximité des antennes de téléphonie mobile. Mais on trouve désormais des études plus récentes sur le sujet, dont les résultats sont plus qu’inquiétants.

En 2016, le
National Toxicology Program
une étude particulièrement complète de
Ronald L. Melnick
dont le titre long (traduit) est “Commentaire sur l’utilité de l’étude du National Toxicology Program sur les données d’exposition aux radiofréquences des téléphones portables pour évaluer les risques pour la santé humaine, malgré des critiques infondées visant à minimiser les résultats des effets nocifs sur la santé“. Celle-ci démontre apparemment un lien clair entre le cancer et les rayonnements non ionisants, comme le montre le rapport suivant. Des rats ont été exposés de manière ciblée à des fréquences typiques de la téléphonie mobile et ont ainsi développé principalement deux types de tumeurs : des schwannomes dans le cœur et des gliomes dans le cerveau. Des neurinomes de l’acoustique et des méningiomes sont également apparus de manière quelque peu secondaire. Les trois vidéos suivantes traitent des effets des radiofréquences sur les enfants et de leurs conséquences tardives non encore reconnues pour les femmes enceintes :

https://swissharmony.us14.list-manage.com/track/click?u=f27a2a3f07e3a8dbd7b8d43c2&id=348e02456d&e=83ae9a2fb7

Video 1: www.youtube.com/watch?v=dSklg5J8ngI
Video 1: www.youtube.com/watch?v=zX54GERrs4w

Les médecins ont un rôle crucial à jouer dans la prévention

Une évaluation récente des connaissances scientifiques sur les effets des rayonnements mobiles sur la santé des enfants, publiée dans la revue Current Problems in Pediatric and Adolescent Health Care, conclut que les médecins et les autorités sanitaires ont un rôle crucial à jouer dans la prévention des dommages causés par les rayonnements mobiles. L’article “Technologies sans fil, champs électromagnétiques non ionisants et enfants : identifier et réduire les risques pour la santé” a été rédigé par sept experts renommés dans les domaines de la médecine, de l’épidémiologie, de la toxicologie, de la physique, du génie des bioprocédés et de la santé publique, qui ont publié ensemble plus de mille travaux. Le document sera publié en traduction allemande par diagnose:funk dans quelques semaines.

Les études sur les effets sur la santé

“Les rayonnements non ionisants peuvent avoir des effets au niveau cellulaire, notamment sur l’homéostasie cellulaire et sur les processus mitochondriaux, qui sont essentiels pour l’énergie et le métabolisme cellulaires. L’hypothèse selon laquelle seuls les rayonnements ionisants peuvent causer des dommages est dépassée et fausse”, a déclaré Dr Paul Ben Ishai du département de physique de l’université d’Ariel, Israël, directeur du laboratoire de spectroscopie diélectrique terahertz. “La science indique que le rayonnement sans fil agit comme un perturbateur endocrinien classique”, a déclaré Devra Davis, Ph.D., M.P.H., présidente de l’Environmental Health Trust, et a fait référence à des “preuves substantielles” liant l’exposition aux rayonnements sans fil à des troubles de la mémoire, du comportement, de la fertilité et du développement cérébral, ainsi qu’au cancer et à des maladies neurologiques.

Des décennies à empêcher le progrès

Selon diagnose-funk.org, le document fait référence à de nombreuses études qui établissent un lien entre l’exposition sans fil et des effets tels que le stress oxydatif, les dommages à l’ADN, la cardiomyopathie, la cancérogénicité, les dommages aux spermatozoïdes, les dommages à la mémoire et les effets neurologiques. L’American Academy of Pediatrics milite depuis longtemps pour que les réglementations du gouvernement américain soient mises à jour afin de prendre en compte la vulnérabilité des enfants. La grossesse, la petite enfance et l’enfance sont des périodes de vulnérabilité critique, en particulier pour le cerveau qui se développe rapidement. “Les limites de sécurité actuelles fixées par le gouvernement sont dépassées et ne correspondent ni à l’état actuel de la science ni à la manière dont les enfants utilisent aujourd’hui les technologies sans fil”, a déclaré Dr. Linda Birnbaum, ancienne directrice du National Toxicology Program (NTP) américain et du National Institute for Environmental Health, à propos de cet examen critique des preuves expérimentales et épidémiologiques. “L’hypothèse erronée selon laquelle les rayonnements sans fil ne sont nocifs que lorsque les tissus sont surchauffés a empêché les progrès en matière de protection de la santé pendant des décennies dans de nombreux pays (mais pas tous). Un mécanisme qui provoque des dommages, y compris le cancer, est bien connu des ingénieurs chimistes et est appelé ‘catalyse par micro-ondes'”, a déclaré Meg Sears, Ph.D., présidente de Prevent Cancer Now et chercheuse associée à l’Institut de recherche de l’hôpital d’Ottawa (Canada). Sears travaille dans le domaine de l’environnement et de la santé après avoir étudié le génie des bioprocédés et la chimie appliquée.

Tenir le téléphone portable éloigné du cerveau et du corps

L’Académie américaine de pédiatrie recommande aux parents de minimiser l’utilisation du téléphone portable par leurs enfants et donne dix conseils aux familles, comme tenir le téléphone portable éloigné du cerveau et du corps et, lors du visionnage de vidéos sur un appareil, télécharger les films à l’avance, puis éteindre les antennes sans fil avant de passer l’appareil à l’enfant, “afin d’éviter une exposition inutile aux radiations”. Parmi les recommandations d’autres autorités sanitaires américaines visant à réduire l’exposition des enfants aux radiations, on peut citer les recommandations du California Department of Public Health sur l’utilisation des téléphones portables et les directives du Maryland State Children’s Environmental Health and Protection Advisory Council sur la réduction des radiations des téléphones portables à la maison et à l’école. L’ensemble du document est librement accessible et peut être téléchargé en format PDF sous ce lien.

Les champs électromagnétiques comme facteur de risque

Des scientifiques de la faculté de médecine de l’université Comenius de Bratislava (Slovaquie) publient, selon un rapport sur diagnose-funk.org, les résultats de leurs travaux sur les effets des rayonnements HF et des champs électromagnétiques à basse fréquence sur les hommes et les animaux. L’étude “Les champs électromagnétiques en tant que facteur de risque pour la santé” est une présentation globale (revue) des résultats d’articles publiés par le Département de biophysique médicale et le Département de santé publique de la Faculté de médecine Jessenius de l’Université Comenius de Bratislava (JFM CU) sur le thème de l’épidémiologie des champs électromagnétiques. En l’espace de 14 ans, 13 publications principales ont vu le jour, dont 11 études portant sur les signaux haute fréquence des téléphones mobiles (principalement les normes GSM900 et GSM1800) ;

Effets nocifs potentiels sur l’homme et l’animal

L’étude contient une liste de résultats de toutes les études. Le résumé dit notamment ceci : “Nous avons découvert que les CEM RF affectent la variabilité de la fréquence cardiaque chez les lapins en augmentant l’activité du parasympathique lors de l’exposition de la tête et l’activité du sympathique après l’exposition de la cage thoracique, comme nous l’avons démontré chez l’homme”. Les auteures se réfèrent à l’étude réalisée par le Dr Martin Pall symptômes neurologiques résumés qui sont le plus souvent rapportés après une exposition aux CEM HF : “Il n’est pas surprenant que les sujets de nos études aient également présenté des symptômes de santé similaires après une exposition au GSM 1800” : Les études principales de cette étude de synthèse menée par le Département de biophysique médicale en collaboration avec le Département de santé publique de JFM CU à Martin ont montré, selon les auteures de l’étude, de possibles effets nocifs des CEM HF et ELF sur les humains et les animaux.

Examen complexe nécessaire

Les études portaient soit directement sur les sensations subjectives des sujets après une exposition aux CEM (sous forme de questionnaire), soit prenaient en compte les valeurs mesurées de la fréquence et de l’intensité électrique des CEM, qui étaient comparées aux valeurs limites autorisées. Après l’exposition, les sujets ont décrit : des sensations de brûlure dans l’oreille, une perte de concentration, du stress, de l’anxiété, de la dépression, des troubles du rythme cardiaque et de l’insomnie. L’exposition aux CEM HF dans des zones blindées (similaire à l’effet d’une cage de Faraday) peut augmenter considérablement la densité de flux de l’intensité électrique des CEM et est dangereuse pour la santé”. Les auteures concluent : “Une recherche sérieuse dans ce domaine nécessite une étude complexe des phénomènes physiques, biologiques et sociaux et de leurs relations pour un contrôle et un soutien efficaces de la santé publique”.

Créer un champ vibratoire harmonieux

Comment se protéger et protéger ses enfants des rayonnements à haute fréquence et de l’électrosmog ? “La loi de résonance stipule que dans un champ d’oscillation, aucune résonance ne peut se produire avec des oscillations dont les fréquences se situent en dehors de celles du champ”, explique Richard Neubersch. En d’autres termes, les ondes sont inefficaces : Dans un champ vibratoire harmonieux, les rayonnements artificiels restent sans effet, peu importe qui les produit, qu’ils proviennent du voisin ou de l’antenne relais de téléphonie mobile toute proche. Les produits mobiles de Swiss Harmony (BioRing, BodyCard, BioArmreif et le BioPatch) harmonisent le corps humain en transmettant la vibration harmonique sous forme d’information au système énergétique de la personne. Ainsi, les champs de rayonnement créés artificiellement ne peuvent plus entrer en résonance.

Protection contre les rayonnements nocifs
Concrètement, cela signifie que : Les produits de Swiss Harmony destinés à l’harmonisation des maisons et des appartements font en sorte que le courant qui alimente un bâtiment en électricité reçoive un message différent. “Ils transmettent par résonance l’information du spectre lumineux visible au courant qui passe, lequel la répartit à son tour dans toute la zone d’action du circuit électrique”, explique Richard Neubersch. Le champ électromagnétique de l’appartement ou de la maison deviendrait ainsi un champ harmonieux. Les émetteurs WLAN domestiques, les téléphones portables ou les téléphones sans fil sont antiparasités parce qu’ils sont connectés au champ électrique harmonique et émettent donc la même information harmonique.

Conseil de lecture : “Funkstille”
Richard Neubersch de Swiss Harmony décrit dans son livre “Funkstille” dans quels contextes des thèmes comme la 5G, Corona et autres peuvent être vus. “Les discussions sur les liens entre Corona et 5G se multiplient et il n’a jamais été aussi important de garder la tête froide. Il faut développer une attitude intérieure qui vous permette de rester centré dans votre cœur malgré la situation extrême”, explique l’auteur du livre. “Silence radio” est plus qu’un simple livre sur Swiss Harmony et la téléphonie mobile. Il se veut une aide pour rester centré dans son cœur malgré la situation extrême qui tient le monde en haleine actuellement. La chaîne de télévision suisse consacrée à la santé QS24 propose dès à présent une nouvelle vidéo. Dans une interview, Günther Wagner explique comment les arbres et les plantes réagissent à l’harmonisation de sa maison.

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