A Toulouse, un juge a récemment reconnu l’incapacité de travail d’une femme électrosensible de 39 ans et a décidé qu’elle aurait droit à une pension d’Etat mensuelle de 800 euros pendant trois ans.
Une petite lueur d’espoir qui donne des raisons d’espérer qu’avec ce jugement, d’autres juges dans d’autres pays auront le courage et le discernement de prendre des décisions similaires.
Le temps est venu pour que non seulement l’État, mais aussi les médecins et les caisses d’assurance maladie reconnaissent enfin les dangers de l’électrosmog.