L’influence des veines d’eau n’est pas directement perceptible par l’homme.
Nous avons perdu les “antennes” pour cela à cause des distractions les plus diverses du monde extérieur. De plus, la radiosensibilité et la radiesthésie ne sont pas prises au sérieux, mais plutôt tournées en dérision.
Pourtant, la détection des rayonnements telluriques à l’aide d’un pendule ou d’une baguette est probablement aussi ancienne que l’histoire de l’humanité. Des personnalités connues dans les domaines de la médecine, de la religion, de la physique et de la géologie s’y sont souvent intéressées.
L’homme a la capacité de détecter les radiations s’il s’entraîne à le faire. C’est comme jouer du piano. Tout le monde pourrait le faire, mais rares sont ceux qui le maîtrisent.
Autrefois, notre intuition suffisait pour les champs de radiations, mais la technique et les influences environnementales nous ont fait perdre cette capacité. Les nourrissons et les jeunes enfants l’ont encore, cette sensibilité naturelle aux rayonnements telluriques, car ils choisissent intuitivement la meilleure place dans leur lit, celle qui ne présente aucun risque pour leur santé.
Les animaux et les plantes réagissent également aux influences des rayonnements. Les chats et les fourmis les recherchent, tandis que les chiens préfèrent les endroits non irradiés. Les arbres ont souvent des excroissances ou leur tronc est tordu ou incliné parce qu’ils essaient d’éviter les zones de perturbation.
Il existe des indices selon lesquels, dès 13 500 av. au Togo (Afrique du Sud), des puits ont été localisés à l’aide d’une baguette ou d’un pendule.
En Chine aussi, on savait depuis des millénaires que la terre émettait de fortes radiations. Par décret, le terrain devait être inspecté à la recherche de “mauvais esprits de la terre” avant la construction d’un nouveau bâtiment.
En Russie, la pratique de la canne est scientifiquement reconnue. Les sourciers y sont appelés “opérateurs” et travaillent non seulement sur terre, mais aussi à partir d’avions.
Un lit peut rendre malade
Paracelse, le baron von Pohl, Goethe, le professeur Sauerbruch, Einstein et bien d’autres sympathisaient déjà avec les sourciers, quand ils n’utilisaient pas eux-mêmes des baguettes. Il y a des siècles, ils mettaient déjà en garde contre l’influence pathogène des rayonnements terrestres et des veines d’eau.
De nombreuses maladies ou troubles, notamment chroniques, pour lesquels les médecins n’ont pas d’explication plausible, sont souvent dus à des veines d’eau à l’endroit où l’on dort. Paracelse, médecin et naturaliste du 16e siècle, disait déjà : “Un lit malade est un moyen sûr de ruiner la santé”.
Les “maisons cancéreuses” prouvent l’influence des veines d’eau !
Le naturaliste, Gustav Freiherr von Pohl, l’a prouvé avec son projet de recherche : À Vilsbiburg, en Basse-Bavière, il a étudié les veines d’eau de la ville et de ses environs. Son travail était officiellement supervisé. Dans un dessin, il a marqué les maisons qui se trouvaient sur des veines d’eau. Le médecin de district, le Dr Bernhuber, a comparé ces données avec les certificats de décès des 12 années précédentes et a conclu que des décès par cancer étaient survenus dans chacune des maisons marquées. C’était la première fois que le lien entre veines d’eau et cancer était clairement établi. Vous pouvez consulter directement le protocole officiel de Vilsbiburg ici.
Après Vilsbiburg, le baron von Pohl a inventé le terme de “Krebshäuser”.
Dr Rambeau : Les cas de cancer coïncident avec les veines d’eau
Le médecin, le Dr Victor Rambeau, a répété l’expérience de von Pohl dans trois endroits différents près de Marburg. Lui aussi est arrivé à la même conclusion : les cas de cancer coïncidaient avec les veines d’eau identifiées.
Dans son rapport, il écrivait : “Dans notre travail statistique, nous avons cherché une maison située sur un terrain non perturbé géologiquement et qui présente néanmoins des maladies liées au cancer, mais nous n’avons pas trouvé cette maison !”
Dr. Hagen : Les veines d’eau favorisent clairement le cancer
Bien des années plus tard, un troisième chercheur, le docteur Hagen, conseiller sanitaire de Stettin, a mené d’autres recherches. Il s’est procuré auprès du bureau des statistiques de Stettin une liste de tous les décès par cancer de 1910 à 1931. Il a étudié dans quelles maisons les décès avaient eu lieu et, après avoir examiné 5148 morts, il est arrivé à une conclusion frappante. En résumé, il en résulte
- 51 maisons avec 5 décès par cancer
- 15 maisons avec 6 décès par cancer chacune
- 6 maisons avec 7 décès par cancer chacune
- 1 maison avec 8 décès par cancer
- 1 maison avec 9 décès par cancer
- 5 maisons avec chacune 10 décès par cancer et plus
Les résultats de deux maisons de retraite étaient particulièrement inquiétants. L’un d’entre eux se trouvait exactement sur un croisement de veines d’eau et présentait 28 décès. L’autre foyer était exempt de veines d’eau et, pendant toutes ces années, il n’y a pas eu non plus de cas de cancer. Cela fait apparaître assez clairement l’influence des veines d’eau sur la santé des personnes.
Les experts sur l’influence des veines d’eau
La publication de ces études a attiré l’attention du corps médical et le sujet a fait l’objet d’un débat général animé. Un certain nombre de médecins sont arrivés à la conclusion que le caractère irréfutable des résultats présentés devait obliger la science médicale à repenser et à agir.
En 1932, le lauréat du prix Nobel Max Planck a demandé à l’Institut Kaiser Wilhelm de Berlin de créer un département de recherche sur les rayonnements terrestres.
Plus récemment, une étude financée par l’État a été commandée sur l’insistance du Dr Veronika Carstens. Elle a déclaré : “S’il est vrai que dans toutes les formes possibles d’apparition du cancer, il doit toujours y avoir un facteur – à savoir l’influence des rayonnements telluriques – il est alors irresponsable de ne pas étudier ces phénomènes avec tous les moyens de la recherche”. Cette étude menée par les professeurs Betz et König sur plus de 10.000 cas individuels a révélé que le phénomène existe.
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