Les craintes de la population concernant le rayonnement de la téléphonie mobile et la 5G sont-elles prises au sérieux ? Une motion du Conseil national suisse ainsi que des déclarations de représentants des offices fédéraux donnent une autre image.
Une partie notable de la population se dit électrosensible et se sent affectée dans sa santé ou son bien-être par les émissions de rayonnement de la téléphonie mobile et l’électrosmog. Il n’existe cependant pas encore de critères de diagnostic médical reconnus. Dans son interpellation du 19 juin dernier, la conseillère nationale suisse Martina Munz a donc posé des questions critiques à l’attention du Conseil fédéral concernant le devoir d’information de l’Office fédéral de la santé publique (OFSP) sur les rayonnements non ionisants. Les questions suivantes ont été transmises au Conseil fédéral pour qu’il y réponde :
1. comment l’OFSP s’acquitte-t-il de son devoir d’informer la population sur les rayonnements non ionisants ?
2. quand la base légale annoncée est-elle attendue ?
3. comment la révision des valeurs limites est-elle engagée ? Faut-il une plainte motivée ou dans quelles conditions peut-on supposer que les valeurs limites sont dépassées ?
4. comment le contrôle des valeurs limites d’immissions sera-t-il organisé sur le plan technique, organisationnel et financier et qu’est-ce qui changera à cet égard avec l’introduction de la 5G ?
5. pourquoi le respect des valeurs limites d’émission n’est-il pas régulièrement contrôlé pour toutes les installations ? Un contrôle régulier nécessite-t-il une adaptation de l’ordonnance ?
Des règles vraiment dix fois plus strictes en Suisse ?
Un peu plus de quatre semaines plus tard, le Dr Paul Steffen, vice-directeur de l’Office fédéral de l’environnement (OFEV), a répété à Journal télévisé de la télévision suisse du 20 juillet selon un Rapport sur gigaherz.ch la “fable” (citation gigaherz.ch) selon laquelle, en Suisse, les lieux où les gens séjournent fréquemment semblent être soumis à des directives dix fois plus strictes qu’à l’étranger en matière de rayonnement non ionisant. A cela, le Association gigaherz.ch: “Fin décembre 2017 déjà, le Dr. med. Edith Steiner, responsable du “Groupe de travail sur les champs électromagnétiques” et membre du comité de l’AefU, a publié dans la revue Oekoskoop 4/17 à la page 6 a fait remarquer que cette affirmation comparait des pommes et des poires”. Le fait est – selon gigaherz.ch – qu’en Suisse, les valeurs limites d’immissions (VLI) sont apparemment les mêmes qu’à l’étranger. “Les valeurs limites d’immissions, qui suivent une recommandation de l’ICNIRP, proche de l’industrie, s’appliquent partout où des personnes peuvent se trouver et se réfèrent à la somme de l’exposition provenant de toutes les stations émettrices”, explique Hans-U. “Les valeurs limites d’immissions sont fixées par l’ICNIRP. Jakob de gigaherz.ch.
“Pas vraiment de quoi inspirer confiance”
La Suisse a toutefois fixé une valeur limite de l’installation (VLInst) supplémentaire dans l’ordonnance sur la protection contre le rayonnement non ionisant (ORNI). Celui-ci serait environ dix fois plus petit que l’IGW. Elle ne se réfère toutefois pas à la charge totale comme la VLI, mais se limite à l’exposition due à une seule station émettrice. De plus, selon Hans-U. Jacob pas partout où des personnes peuvent se trouver, mais uniquement dans les lieux dits à utilisation sensible (LUS). “La valeur limite de l’installation constitue en premier lieu une limitation des émissions d’une seule station émettrice de radio pour protéger les riverains immédiats des antennes”. Conclusion de Hans-U. Jakob : “Les collaborateurs de l’OFEV devraient en fait connaître la véritable situation. Pourtant, depuis deux décennies, on ne cesse de suggérer à notre population qu’elle est mieux protégée qu’à l’étranger en raison de la valeur limite de précaution suisse dix fois plus basse. Si maintenant un fonctionnaire en chef de la Confédération fait à nouveau cette déclaration trompeuse à la télévision, cela n’a pas vraiment d’effet sur la confiance”.
La population prise pour une idiote
Le Dr Piero Lercher, médecin et directeur du département de médecine environnementale de l’Ordre des médecins de Vienne, explique dans une interview avec le magazine mondistrict.fr sur le point : “Il ne s’agit pas ici de l’interprétation d’études individuelles, mais de l’évaluation de l’Organisation mondiale de la santé, qui continue à considérer la technologie de la téléphonie mobile comme potentiellement cancérigène de l’UE. La population est irritée et distraite par le débat d’études entre les partisans et les opposants de la téléphonie mobile. Les partisans de la téléphonie mobile rassurent la population et la prennent pour une idiote en lui faisant croire que les micro-ondes 5G sont comparables aux ondes radio et télévisées. Les productions vidéo actuelles sont tout à fait perfides, car elles visent à minimiser le sujet par une conception humoristique”.
L’ignorance nuit
Avec les nombreux types de rayonnements parasites qui nous affectent sans cesse, l’ensemble de l’électrosmog est sans doute considéré aujourd’hui comme le plus grand ennemi de la santé. Vous-même ne remarquez pas le L’électrosmog ? Et que dire de l’éventuel déséquilibre intérieur, de la nervosité, des maux de tête, des troubles du sommeil, de l’irritabilité, du manque d’énergie ? Sans parler des bébés qui pleurent, des enfants qui s’agitent ou qui sont agressifs, des élèves qui ne sont pas concentrés ? L’ignorance nous fait souvent plus de mal que nous ne le pensons. En effet, par manque de connaissances, nous commettons dans certains domaines de la vie des erreurs qui pourraient souvent être évitées. Le système nerveux humain n’est capable de supporter et d’assimiler qu’un certain niveau de stress. Si le tonneau déborde, nous sommes confrontés à des problèmes de santé. De plus en plus de personnes s’inquiètent de l’augmentation de l’exposition aux radiations, notamment en raison de l’introduction de la norme de téléphonie mobile 5G. Le 21 septembre, la deuxième manifestation sous le slogan “Stop 5G” aura lieu sur la Place fédérale à Berne.
Créer un champ vibratoire harmonieux
Comment se protéger et protéger ses enfants des rayonnements à haute fréquence et de l’électrosmog ? “La loi de résonance dit que dans un champ d’oscillation, il ne peut pas y avoir de résonance avec des oscillations dont les fréquences sont en dehors de celles du champ”, explique Richard Neubersch, propriétaire de Swiss Harmony à Grellingen, une entreprise spécialisée dans l’harmonisation de l’électrosmog. En d’autres termes, les ondes sont inefficaces : Dans un champ vibratoire harmonieux, les rayonnements artificiels restent sans effet, peu importe qui les génère, qu’ils proviennent du voisin ou de la tour de téléphonie mobile toute proche. Les produits mobiles de Swiss Harmony (BioRing, BodyCard, BioArmreif et le BioPatch) harmonisent le corps humain en transmettant la vibration harmonique sous forme d’information au système énergétique de la personne. Ainsi, les champs de rayonnement créés artificiellement ne peuvent plus entrer en résonance.
Protection contre les radiations nocives
Concrètement, cela signifie que : Les produits de Swiss Harmony pour l’harmonisation des maisons et des appartements font en sorte que le courant qui alimente un bâtiment en électricité reçoive un message différent. “Ils transmettent par résonance l’information du spectre lumineux visible au courant qui passe, lequel la répartit à son tour dans toute la zone d’action du circuit électrique”, explique Richard Neubersch. Le champ électromagnétique de l’appartement ou de la maison deviendrait ainsi un champ harmonieux. Les émetteurs WLAN domestiques, les téléphones portables ou les téléphones sans fil sont antiparasités parce qu’ils sont connectés au champ électrique harmonique et émettent donc la même information harmonique.