Le lobby de la téléphonie mobile semble avoir réussi. Les politiques s’efforcent actuellement, sur plusieurs fronts, d’ouvrir la porte à la technologie de la téléphonie mobile, au détriment de notre santé et de l’environnement. Des initiatives citoyennes font contrepoids et en appellent à la responsabilité individuelle.
L’Office fédéral de la communication (OFCOM), par exemple, souhaite supprimer les obligations de service universel dans la nouvelle ordonnance sur les services de télécommunication (OST). Il s’agit d’une part de la mise à disposition de postes téléphoniques publics et d’autre part de la mise à disposition d’un raccordement au câble dans chaque foyer. Conséquences : Dès que c’est techniquement ou économiquement coûteux, on tient compte des marges bénéficiaires de l’industrie plutôt que des besoins de la population. L’approvisionnement du réseau par le concessionnaire du service universel serait donc de facto supprimé. La priorité accordée au service universel câblé, donc plus fiable, serait supprimée. Ainsi, la technologie de la téléphonie mobile, avec son irradiation par l’électrosmog, serait de facto mise sur un pied d’égalité avec la technologie câblée, plus propre, et serait même pratiquement privilégiée.
“N’abandonnez surtout pas les télécommunications filaires !”
L’association faîtière Elektrosmog Suisse et Liechtenstein, par exemple, s’est montrée critique à l’égard de ces plans. L’association s’oppose avec véhémence à une nouvelle exposition aux radiations dans le cas de l’article 16, alinéa prévu. 2 de l’ordonnance et trouve “inadmissible de considérer les concitoyens atteints dans leur santé sous des aspects purement économiques et techniques”. Il s’agit également de donner à ces personnes handicapées davantage de possibilités de participer à l’organisation de leur vie. La loi sur l’égalité des personnes handicapées doit également protéger la mobilité des personnes électrosensibles qui, en raison de l’augmentation de l’électrosmog, seront de moins en moins en mesure de participer à la vie sociale. “Un service universel de télécommunication par câble dans toute la Suisse ne doit en aucun cas être abandonné. Dans l’intérêt de la sécurité de la population, un réseau de connexion fiable, indépendant du réseau électrique, doit être maintenu dans toutes les communes”, exige l’association faîtière.
Augmenter les valeurs limites dans la téléphonie mobile et simplifier les permis de construire ?
Mi-janvier, une proposition de la Commission des transports et des télécommunications (CTT) du Conseil national a circulé dans les médias. Selon un rapport publié sur gigaherz.ch, la CTT a décidé de déposer deux interventions de commission concernant le développement et la modernisation des réseaux de téléphonie mobile. D’une part, la valeur limite de l’installation pour les stations de téléphonie mobile doit être relevée, les moyens d’aide à l’exécution et les définitions des installations doivent être simplifiés, et un monitoring RNI doit être mis en place et financé. D’autre part, il s’agit d’examiner les mesures qui permettraient de simplifier et d’accélérer les procédures d’autorisation de construire pour les antennes de téléphonie mobile. Elle se prononcera sur le libellé exact des interventions lors de sa prochaine séance.
Votation populaire dans la ville de Lucerne
A Lucerne, le peuple décidera prochainement du niveau de prolifération de la téléphonie mobile qu’il souhaite supporter à l’avenir dans la ville. L’initiative “Pour l’ordre et non pour la prolifération de la téléphonie mobile” a été déposée le 5 janvier 2015 avec 1 280 signatures valables. Selon le règlement communal de la ville de Lucerne, seuls 800 euros auraient été nécessaires. Ils ont été collectés en l’espace de 60 jours par quatre initiateurs et initiatrices pendant leur temps libre. Les citoyens de Lucerne auront donc probablement l’occasion de voter le 5 juin 2016 sur l’introduction ou non du modèle en cascade pour la construction d’antennes de téléphonie mobile dans la ville de Lucerne. Selon l’association Gigaherz, les chances ne sont pas minces pour l’initiative. Selon l’Office fédéral de la statistique, 52% des Suisses considèrent les antennes de téléphonie mobile comme dangereuses ou plutôt dangereuses (voir aussi le rapport sur gigaherz.ch). Ceux qui pensaient en avoir fini avec les oppositions à la construction d’antennes de téléphonie mobile se sont sans doute lourdement trompés. Alors que jusqu’à présent, le service spécialisé dans le rayonnement non ionisant de Gigaherz.ch conseillait chaque année une cinquantaine de groupes d’opposants et les accompagnait dans les différentes instances, ils étaient déjà une centaine en 2015.
Initiative personnelle et responsabilité
Conclusion : dans la lutte contre les influences négatives du rayonnement de la téléphonie mobile, la confiance accordée à la politique, à la science et à l’administration ne suffit plus. Il faut que les gens prennent l’initiative de se préoccuper de leur santé et de leur environnement. Chacun peut également prendre cette initiative et cette responsabilité dans son propre environnement et chez lui, en étant conscient et en utilisant ces technologies.
Créer un champ vibratoire harmonieux
La loi de résonance stipule que dans un champ vibratoire, aucune résonance ne peut se produire avec des vibrations dont les fréquences se situent en dehors de celles du champ. En d’autres termes, les ondes sont inefficaces : Dans un champ vibratoire harmonieux, les rayonnements artificiels restent sans effet, peu importe qui les génère, qu’ils proviennent du voisin ou de la tour de téléphonie mobile toute proche. Les produits mobiles de Swiss Harmony (BioRing, BodyCard, BioArmreif et le BioPatch) harmonisent le corps humain en transmettant la vibration harmonique sous forme d’information au système énergétique de l’être humain. Ainsi, les champs de rayonnement créés artificiellement ne peuvent plus entrer en résonance.
Swiss Harmony : protection contre les rayonnements nocifs
Les produits de Swiss Harmony pour l’harmonisation des maisons et des appartements font en sorte que le courant qui alimente un bâtiment en électricité reçoive un message différent. Ils transmettent par résonance l’information du spectre lumineux visible au courant qui passe, lequel la répartit à son tour dans toute la zone d’action du circuit électrique. Le champ électromagnétique de l’appartement ou de la maison devient un champ harmonieux. Les émetteurs WLAN domestiques, les téléphones portables ou les téléphones sans fil sont antiparasités parce qu’ils sont connectés au champ électrique harmonique et émettent donc la même information harmonique.