Les nuisances dues à l’électrosmog ne sont pas perceptibles pour la plupart des gens. “Déparasiter l’électrosmog” est quelque chose que notre corps fait en permanence et tant qu’il n’y a pas d’autres nuisances, nous sommes tout à fait capables de nous maintenir en équilibre malgré tout. Ce n’est que lorsque les influences deviennent trop fortes que l’organisme réagit par les premiers symptômes.
Des courants électriques très fins, à peine mesurables avec quatre pico-ampères, assurent l’échange d’informations intercellulaires.
Nous savons aujourd’hui qu’il s’agit d’un billion d’opérations en une seule seconde. Au départ, cela n’est pas très impressionnant, car ce chiffre est inimaginable.
Ce n’est qu’en réfléchissant aux exemples suivants que l’on se rend compte de la complexité et de la sophistication de la vie humaine.
Nous savons que l’être humain adulte est composé d’environ 100 billions de cellules. Un billion d’opérations en une seule seconde signifie donc qu’en moyenne, chaque cellule reçoit ou envoie jusqu’à 10 impulsions électriques par seconde. Par cellule, la valeur numérique élevée semble donc tout à fait plausible.
Comme mentionné ci-dessus, la force des impulsions électriques intercellulaires est d’environ 4 pico-ampères. Là encore, il s’agit d’une grandeur difficile à imaginer. Elle est reconnaissable si nous nous rendons compte qu’un téléphone portable émet un rayonnement de 0,2 ampère. C’est cinquante milliards de fois plus puissant ! On comprend ainsi qu’un téléphone portable représente une irritation énorme pour notre organisme. N’est-ce pas une bénédiction que la plupart d’entre nous n’aient pas à le percevoir physiquement ?
Ou bien si ?
Comme nous ne ressentons pas les effets de l’électrosmog et que les premiers symptômes physiques n’apparaissent que bien plus tard, il nous est difficile de faire le lien entre ces symptômes et leur véritable cause.
Ce serait bien si ça se limitait à un rhume. Mais comme ces influences règnent sans cesse et ne s’arrêtent jamais, notre corps finit par se mettre à genoux et nous avertit très tôt par divers symptômes.
Veuillez également lire les explications sur le modèle du tonneau sur la page d’information sur le burnout.
Voici quelques symptômes dont on sait aujourd’hui qu’ils jouent un rôle considérable en cas d’exposition à l’électrosmog :
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La mélatonine est une hormone que le corps produit lui-même et qui est sécrétée par la glande pinéale. Toutefois, cela ne commence qu’après minuit.
La mélatonine permet à notre organisme de se détendre complètement et de s’endormir profondément. Il est également indirectement responsable du renforcement de nos défenses immunitaires.
Il est prouvé que les influences de l’électrosmog réduisent la production de mélatonine jusqu’à 40%. Il en résulte un sommeil agité, une absence de récupération profonde et, surtout, un renforcement du système immunitaire. Une harmonisation par Swiss Harmony empêcherait cela.
Pour en savoir plus sur ce sujet, veuillez consulter la page d’information sur la pollution électromagnétique!
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