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Recherches et études sur les veines d’eau

L’une des études les plus connues est celle de Gustav Freiherr von Pohl, datant de 1929 :

Maisons du cancer : l’étude du naturaliste Gustav Freiherr von Pohl

Du 13 au 19 janvier 1929, Gustav Freiherr von Pohl a examiné la petite ville de Vilsbiburg en Basse-Bavière, qui comptait à l’époque 3300 habitants, à la recherche de radiations telluriques et de veines d’eau, et a déterminé les lits dans lesquels des personnes avaient dû mourir du cancer. Pendant son enquête, il était accompagné de personnes de contrôle et il n’était pas autorisé à parler de son travail avec qui que ce soit. Il est officiellement certifié qu’il ne savait pas auparavant si des personnes étaient mortes d’un cancer à Vilsbiburg, et combien. Il a réussi à retrouver tous les lits des 54 personnes décédées d’un cancer (32 hommes, 22 femmes).
Gustav Freiherr von Pohl a écrit un livre sur ses travaux, qui est encore disponible dans le commerce aujourd’hui. (Gustav Freiherr von Pohl : Erdstrahlen als Krankheitserreger. Jos. C. Huber Verlag, Diessen 1932. 218 pages avec des illustrations en couleur).
Vous pouvez consulter ici le procès-verbal original de la visite :
Protocole original_Vilsbiburg_transcription

Etude du Prof. Dr H. Beitzke (1937) sur 450 souris

Le Dr H. Beitzke, professeur à l’Institut d’anatomie pathologique de l’Université de Graz, a étudié en 1937 l’influence des veines d’eau sur les cancers chez la souris. Il a publié ses résultats dans la Wiener Klinische Wochenschrift en 1937. Un tiré à part est conservé dans les archives de l’université. Malheureusement, cette étude n’est pas disponible dans le commerce. Nous en donnons ici un bref résumé :

Sous l’Institut anatomo-pathologique de Graz se trouve une veine d’eau qui a été localisée par un sourcier.
Le Dr Beitzke avait placé des cages avec des souris blanches au-dessus de cette veine d’eau et d’autres cages dans une autre pièce du même institut où le sourcier n’avait pas détecté de veines d’eau.
Il a réalisé son expérience avec 450 souris blanches, dont 400 femelles, placées dans 18 cages de 25 souris, dont 9 cages au-dessus de la veine d’eau et les autres sur un sol neutre.
La première tumeur est apparue au bout de 4 semaines et, en l’espace de 13 mois, des tumeurs se sont développées chez 13 souris au total.
La taille des tumeurs variait entre celle d’un noyau de cerise et celle d’une noix. Il a supposé que toutes les tumeurs étaient des tumeurs de la glande mammaire.
L’élément essentiel de cette expérience était que douze des treize souris chez lesquelles un cancer s’est développé se trouvaient dans des cages sur l’aquifère.

En outre, certaines études ont démontré les effets nocifs des rayonnements terrestres en général.

Otto Bergsmann à l’Université de Vienne (1989), Keßler et Kopschina (1992) et Kopschina et Daun (1994), que vous trouverez sur la page d’information sur les rayonnements terrestres.

 

Suite : Chercheurs ou fuyards de radiations ?

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